la club de l'Italie

je vais faire plaisir a clara pourquoi tu est pour l'Itali

La Juventus de Turin, la Lazio de Rome et la Fiorentina évolueront bel et bien en Serie B la saison prochaine! Ainsi en a décidé la Commission fédérale d'appel (CAF) du Tribunal arbitral du sport transalpin (TAS) qui n'a pas hésité en outre à agrémenter la sentence de lourdes pénalités en terme de points, histoire de lester les ambitions de promotion prématurée des intéressés. Egalement dans le collimateur de la justice italienne, le Milan AC s'en sort à bon compte et demeure parmi l'élite avec une pénalité et une suspension européenne.
Faisant fi des pressions, voire des menaces, des membres les plus éminents du football et de la politique italienne, ne se laissant guère influencer par l'euphorie ambiante depuis le sacre mondial de la Squadra Azzurra, la CAF, présidée par l'octogénaire Cesare Ruperto, a pris ses responsabilités vendredi soir en rendant un verdict à la hauteur du réquisitoire présenté par le procureur de la République, Stefano Palazzi, la semaine passée.

Un véritable coup de tonnerre dans les cieux transalpins qui risque de changer considérablement la donne dans le pays des champions du monde. Littéralement frappée par la foudre, la Vieille Dame de Turin, initialement menacée de relégation au troisième échelon national, en Serie C, est sans conteste la grande perdante de l'opération "pieds propres" soutenue par Romano Prodi, le président du Conseil, en personne.

La Juve prend cher

Jetée en Serie B, privée de ses Scudetti 2005 et 2006 - jugement en apparence relativement clément - la Juve ne retrouvera probablement pas de sitôt l'élite du Calcio. Quand bien même Didier Deschamps, le successeur de Fabio Capello, parviendrait à conserver l'essentiel des forces vives bianconere, il lui faudrait en outre accomplir un sans faute la saison prochaine pour prétendre à la promotion directe, la CAF ayant assorti sa sanction d'un handicap de 30 points. 30 longueurs à combler sur la plupart de ses adversaires avant même le début des hostilités, autant dire une condamnation ferme à deux années de purgatoire, dans le meilleur des cas.

Volonté de ne pas brusquer outre mesure une institution jamais reléguée en 109 années d'existence, désir de préserver un statut professionnel inadapté au-delà de la deuxième division italienne ou simplement hypocrisie et couardise des juges, toujours est-il qu'un tel verdict s'apparente à quelques subtilités près à une relégation en Serie C...

Le Milan peut souffler

Pour ce qui est des cas de la Fiorentina et de la Lazio de Rome, la CAF s'est en revanche grandement inspirée du réquisitoire de Stefano Palazzi. A l'instar de la Juventus de Turin, les deux formations n'échappent pas à la relégation en Serie B et se voient infliger des pénalités de 12 et 7 points respectivement. De fait, seul le Milan AC semble avoir bénéficié de quelques providentielles faveurs. Relativement épargnée pour s'être octroyé sa part du gâteau sur le tard en comparaison des autres clubs incriminés, l'équipe lombarde sauve sa peau en Serie A mais débutera sa campagne 2006-2007 avec 15 unités de débours au compteur et ne pourra honorer la Ligue des champions de sa présence. Un moindre mal.

Sans surprise, la palme des sanctions individuelles revient à Luciano Moggi, l'ex-directeur général de la Juventus Turin, suspendu de toute activité sportive pour cinq années à l'instar d'Antonio Giraudo, l'ancien administrateur-délégué du club. Adriano Galliani, l'homologue de ce dernier a u Milan AC, écope pour sa part d'un an de suspension tandis que Diego della Valle, le président honoraire de la Fiorentina, et Claudio Lotito, le patron de la Lazio, se voient respectivement contraints de renoncer à leurs fonctions pour quatre et trois saisons.

Comments

[clara]

Jules t con

[jules]

OU L'ITALIE il son tro nul